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Nutrition du chien et du chat

Le surpoids et l'obésité

Tout comme chez l’humain, l’obésité devient une maladie préoccupante chez le chien et le chat. En France, les dernières études réalisées montrent que plus de 40% des chiens et des chats sont en surpoids ou obèses [1][2].

L’obésité et le surpoids nuisent à la qualité de vie des animaux, mais sont en plus, comme chez l’humain, des maladies qui prédisposent à de nombreuses affections, notamment l’arthrose et le diabète.

Il est important que les propriétaires de chat et de chien soient sensibilisés à ces affections, pour les prévenir mais aussi savoir réagir rapidement en cas de prise de poids trop intense, avant que cela n’impacte la qualité de vie de leur animal.

Pour comprendre ce qu’est l’obésité, il faut comprendre de quoi est composé l’organisme d’un animal. La masse d’un individu est constituée de 3 parties: la masse adipeuse (la graisse), la masse osseuse (les os du corps) et la masse maigre (qui comprend les organes, l’eau et les muscles).

L’obésité peut être définie biologiquement par une accumulation excessive de masse adipeuse dans l’organisme [3]. Chez l’animal, on différencie surpoids et obésité [4] :

  • un animal est en surpoids s’il présente un excès pondéral de 10 à 20%
  • un animal est obèse s’il présente un excès pondéral de plus de 20%

Le terme d’excès pondéral fait référence à la notion de poids idéal. Le poids idéal correspond au poids que l’animal devrait théoriquement faire par rapport à son âge, sa taille et sa morphologie [4].

Afin de déterminer le poids idéal d’un animal, on utilise ce qu’on appelle une Note d’État Corporel ou NEC [5]. C’est une appréciation visuelle et palpatoire de la composition corporelle de l’animal. Des grilles de notation validées par la communauté scientifique permettent d’estimer cette NEC, en prenant en compte :

  • l’aspect général de la silhouette
  • la palpation des reliefs des os
  • la palpation des zones où la masse adipeuse a tendance à se déposer

La NEC peut être définie sur 5 ou 9 points, en fonction de la précision souhaitée et du contexte. 

Vous pouvez retrouver ici une fichier vous permettant d’évaluer la Note d’État Corporel de votre chien (lien) ou de votre chat (lien) ainsi que son poids idéal associé.

Voici l’interprétation qu’on fait de cette note d’état corporel [5] :

Ainsi, si un animal a une note d’état corporel évaluée à 4 ou 5, son poids actuel correspond à son poids idéal. Si sa note d’état corporel est supérieure à 5, l’animal a un excès pondéral qu’on cherchera à corriger en estimant son poids idéal.

Des études ont permis d’estimer la prévalence (c’est-à-dire la fréquence) du surpoids et l’obésité en France.Ainsi, on peut voir qu’au total, plus de 40% des chats et des chiens sont en surpoids ou obèses en France. 

Le surpoids et l’obésité sont fréquents aujourd’hui chez nos animaux de compagnie. Une prise de poids trop importante indique une augmentation de la masse graisseuse d’un animal. Ce stockage de graisse peut avoir de nombreux effets néfastes chez les chiens et les chats.

Impact sur la qualité de vie

Tout comme chez l’humain, le surpoids et l’obésité impactent la qualité de vie des animaux.

Une étude réalisée en 2012 [6] a montré que la qualité de vie des chiens augmentait après un retour à un poids idéal. Cette qualité de vie était évaluée avec un questionnaire à destination du propriétaire abordant notamment l’activité du chien, sa sociabilité, son enthousiasme et sa mobilité.

Les chats en état d’obésité ont notamment plus de difficulté à se déplacer et à réaliser leur toilette.

Surpoids et arthrose

L’arthrose est une affection chronique liée à une détérioration des articulations entraînant de fortes douleurs et des boiteries [3]. Les animaux obèses ont plus de risque d’être touchés par l’arthrose, car le surpoids entraîne des charges plus importantes sur les articulations, ce qui a un effet délétère sur les cartilages. Cela fonctionne dans les deux sens. Un animal présentant de l’arthrose aura tendance à diminuer son activité physique, et sera donc plus prédisposé au surpoids [3].

  • Il a été montré qu’une perte de poids sur des chiens présentant de l’arthrose permettait de soulager l’animal, avec une diminution des boiteries [7].
  • Une autre étude montre que les chats obèses sont 5 fois plus amenés en consultation chez le vétérinaire pour des boiteries associées à de l’arthrose [8].

Obésité et diabète sucré

Une étude a montré que les chats obèses ont 4 fois plus de chance de développer un diabète sucré [8]. Le diabète sucré est une maladie chronique qui peut se définir comme une incapacité à réguler la glycémie. Ces animaux présentent alors des épisodes d’hyperglycémie (à l’origine de signes cliniques et de complications importantes) qui doivent être gérés par l’administration d’insuline tous les jours à heures fixes.

Obésité et risques anesthésiques

L’obésité a plusieurs conséquences sur la gestion d’une anesthésie générale et d’une chirurgie :

  • L’obésité entraîne des effets sur le système respiratoire, avec des problèmes de ventilation et de fonctionnement des poumons, ce qui entraîne des risques augmentés au moment d’une anesthésie générale [5]
  • De plus, certaines molécules utilisées pour endormir les animaux sont solubles dans les graisses. Il faudra utiliser des doses plus importantes chez les animaux obèses, ce qui induit des réveils après l’anesthésie plus lent [5].
  • L’obésité peut également augmenter les risques de déhiscence de plaie, c’est-à-dire de réouverture de la plaie chirurgicale, car la présence de masse graisseuse importante peut être gênante pour réaliser des sutures correctes [5].

En plus de toutes ces affections, l’obésité va avoir une influence sur le système cardio-vasculaire en modifiant sa structure et son fonctionnement, sur le système respiratoire, ou encore sur le fonctionnement des reins, avec notamment les chats obèses qui sont plus à risque de développer des maladies de l’appareil urinaire [2].

Chez le chat, l’obésité peut également avoir des répercussions potentiellement fatales car elle peut être l’origine d’une affection appelée la lipidose hépatique [5]. Cette maladie touche le foie et se déclenche lors d’une anorexie (en cas de stress important par exemple) ou lorsque la ration alimentaire est trop pauvre en énergie. Cela va entraîner des signes cliniques importants qui nécessitent une prise en charge rapide. 

Nous avons vu que l’obésité et le surpoids sont à l’origine de nombreuses pathologies chez les chiens et les chats. Il est donc important de tout faire pour prévenir l’apparition d’un surpoids chez son animal de compagnie car la perte de poids après est longue et difficile.

Cette prévention se fait tout au long de la vie de l’animal. Pour cela, il faut avoir en tête les facteurs de risque d’apparition d’un surpoids chez les animaux de compagnie. Le surpoids et l’obésité sont des affections causées par de nombreux facteurs. Il y a une part de génétique, liée à la race par exemple, mais aussi une grande part liée à l’environnement dans lequel nos animaux de compagnie évoluent. 

Pour ce qui est de la génétique, certaines races de chiens sont prédisposées au surpoids et à l’obésité, notamment le golden retriever et le labrador retriever [1]. Les raisons de cette prédisposition ne sont pas encore bien connues. Chez le labrador, l’existence d’une mutation au niveau d’un gène serait à l’origine d’une augmentation de la masse graisseuse et de l’appétit général de l’animal [3].

Pour ce qui est de l’environnement, on a différents facteurs de prédisposition au surpoids et à l’obésité : 

Le statut sexuel

La stérilisation des animaux est associée à un risque augmenté d’apparition de surpoids [1]. L’explication de ce phénomène est assez complexe. La stérilisation engendre plusieurs phénomènes:

→ Une baisse des besoins énergétiques : après la stérilisation, les besoins énergétiques des animaux diminuent jusqu’à 30% selon les races [5]. Les quantités de croquettes recommandées par les fabricants ne sont alors plus valables pour ces animaux. 

→ Une augmentation du poids : 

  • Une étude a montré qu’après leur castration, les mâles pouvaient avoir une augmentation de poids jusqu’à 20% [9]. L’origine de cette prise de poids serait hormonale. La diminution de la production des hormones sexuelles mâles favorise la multiplication et l’élargissement des adipocytes (cellules adipeuses), ce qui résulte en une augmentation de la masse grasse.
  • Chez les femelles, le mécanisme est encore inconnu. La chute des hormones sexuelles aurait comme conséquence une augmentation de l’appétit, ce qui favorise donc une surconsommation de croquettes et un surpoids [5].

→ Enfin, certaines études semblent indiquer que les animaux stérilisés présentent une diminution de l’activité physique, ce qui serait aussi un facteur de risque, mais les scientifiques ne sont pas tous d’accord là-dessus.

Chez ces animaux, une adaptation de l’alimentation après la stérilisation est fortement recommandée, en passant sur des croquettes dites « allégées » pour compenser ces phénomènes.

L’exercice physique

Nos animaux domestiques sont aujourd’hui comme nous plus sédentaires, ce qui diminue leur activité physique. De plus, nous leur fournissons une nourriture abondante et constante. Tout ceci entraîne un déséquilibre entre les besoins énergétiques et les apports énergétiques. Et quand un animal prend du poids, il fait souvent moins d’exercice, ce qui fait du phénomène un cercle vicieux. Il est important de penser à maintenir un exercice physique régulier, surtout pour les races de chiens prédisposées, en proposant des balades régulières, adaptées à l’âge de l’animal. 

Le cadre de vie

  • Pour le chien, paradoxalement, certaines études montrent que les chiens vivant en milieu rural, ayant donc un accès extérieur avec un jardin, sont plus prédisposés au surpoids et à l’obésité [10]. En effet, même si le chien a un accès constant à un jardin, cela ne veut pas forcément dire qu’il fait beaucoup d’exercice. Alors qu’un chien vivant en milieu urbain sera promené plus régulièrement par ses propriétaires et fera donc finalement plus d’exercice.
  • Pour le chat, à l’inverse c’est plutôt le fait de vivre uniquement en intérieur qui prédispose au surpoids [11]. En effet, un chat sans accès à l’extérieur aura tendance à faire moins d’exercice, et sera plus enclin à plus manger, plus par ennui que par réel besoin. Pour les chats d’appartement, il est donc important de penser à installer de nombreux enrichissements et jeux dans son espace de vie pour maintenir une activité physique (pour tout savoir sur « comment améliorer la vie d’un chat d’intérieur », rendez-vous ici).

L’alimentation

L’alimentation donnée à nos animaux de compagnie influe beaucoup sur le risque de surpoids. 

  • Le type d’alimentation : une étude assez récente a montré que la distribution de croquettes achetées en grande surface, qui ne sont donc généralement pas des gammes de croquettes vétérinaires, augmentent le risque d’obésité chez le chat [11].
  • La distribution de friandises est un facteur de risque important. Il a été montré que donner des friandises 2 à 3 fois par semaine prédispose à une augmentation de la masse adipeuse [3].
  • La quantité de croquettes : les instructions sur les paquets de croquettes sont parfois imprécises, de nombreuses marques de croquettes surestiment les besoins énergétiques des animaux. En effet, les quantités affichées à l’arrière des paquets sont standardisées et ne prennent pas forcément en compte les variations de besoins entre animaux en fonction de la race, de l’âge ou de la corpulence. Une étude révèle notamment que les besoins énergétiques sont surestimés jusqu’à 40%, et ce phénomène concerne 80% des aliments proposés sur le marché [5]. 

Tout cela montre l’importance d’une ration alimentaire calculée par un professionnel. Le vétérinaire est ici l’allié idéal pour mettre en place une distribution alimentaire adaptée pour prévenir l’apparition d’un surpoids.

Vous pouvez retrouver ici un fichier vous permettant de calculer une approximation de la quantité d’aliment à donner à votre chien ou votre chat en fonction de son poids, de son mode de vie et de l’alimentation que vous lui donnez (lien excel chien et chat). Ce document ne remplace pas une ration approuvée par un vétérinaire.

Nous avons vu que l’obésité et le surpoids sont à l’origine de nombreuses pathologies chez les chiens et les chats. Nous avons aussi vu les différents facteurs de risque d’apparition d’un surpoids chez l’animal. Ainsi, la prévention de l’apparition d’un surpoids chez son animal passe surtout par un bon environnement de vie avec une alimentation adaptée. 

Malgré tout cela, quand un animal souffre de surpoids ou d’obésité, tout n’est pas perdu.  Heureusement, la plupart des impacts provoqués par le surpoids peuvent être réversibles si l’animal perd du poids. Ainsi, la mise en place d’un programme de perte de poids adapté est fortement recommandé pour améliorer la qualité de vie de l’animal.

Ce programme de perte de poids nécessite une consultation chez le vétérinaire, pour aborder de nombreux points qui sont nécessaires pour comprendre d’où vient la prise de poids et comment la prendre en charge [5] :

  • Le vétérinaire évaluera en premier lieu l’alimentation actuelle donnée à l’animal pour estimer si celle-ci est adaptée. On s’intéressera à la nature de l’alimentation (croquette, pâtée, ration ménagère), les quantités données par jour, la fréquence des repas ainsi que la présence de friandises ou de restes de table.

Au sujet des restes de table, il est important d’être honnête à ce sujet, car les “à côtés” peuvent avoir un fort impact sur le poids de l’animal sans qu’on s’en rende compte. Voici une image vous donnant une idée de l’équivalence entre les friandises communes données à votre chien ou votre chat et de ce que cela représente en comparaison avec un humain: 

En donnant 20 grammes de jambon blanc à votre chat de 4 kg, cela équivaut pour vous à manger environ 10 croissants.

En donnant 50 grammes de jambon blanc à votre chien de 5 kg, cela équivaut pour vous à manger environ 14 croissants.

Pour appliquer cela à votre animal et aux friandises que vous avez l’habitude de lui donner, n’hésitez pas à utiliser nos calculateurs d’équivalence disponible pour les chiens et les chats.

  • On s’intéressera ensuite à l’environnement de vie de l’animal, et notamment son activité physique, avec pour les chiens la fréquence des sorties quotidiennes

Avec la note d’état corporel de l’animal (sur 9 points), on pourra déterminer le poids idéal à atteindre, et ainsi établir un calendrier avec des poids cibles à atteindre et des rendez-vous de suivi. Les spécialistes de la nutrition animale estiment que la perte de poids doit être comprise [5] :

  • entre 0.5 et 2% du poids initial par semaine chez le chien.
  • entre 0.5 et 1% du poids initial par semaine chez le chat.

Au-dessus de ce rythme, l’animal risque :

  • de perdre de la masse musculaire, ce qui n’est pas l’objectif
  • de subir un effet rebond, c’est-à-dire une reprise de poids une fois le poids idéal atteint
  • pour le chat, une perte de poids trop rapide peut déclencher une lipidose hépatique [5], une affection dont nous avons déjà parlé un peu plus tôt dans cet article.

Ainsi, on peut voir qu’un programme de perte de poids peut être long. En effet, prenons l’exemple d’un labrador de 47 kg, qui a une note d’état corporel de 6/9. Son poids idéal est donc de 42.3 kg. Si on part sur une vitesse de perte de poids de 0,5% par semaine, cela signifie que le chien doit perdre 235g par semaine. Pour atteindre son poids idéal, le temps nécessaire sera ainsi d’environ 20 semaines.

Après cette première discussion, le vétérinaire pourra déterminer les besoins énergétiques de l’animal en fonction de son mode de vie, de son âge, de sa race, etc…, et mettre en place une alimentation adaptée, avec des gammes de croquettes dites « allégées » [5].

En plus d’une alimentation restrictive, un programme de perte de poids s’accompagne de nombreux conseils concernant les modalités de distribution de la nourriture : 

  • Il est par exemple conseillé pour les chiens de donner la ration alimentaire journalière en 2 à 3 repas pour éviter que le chien ne ressente trop la faim [5].
  • Chez les chats, les programmes de perte de poids peuvent être plus difficiles à mettre en place à cause de la spécificité de leur comportement alimentaire. En effet, le chat vit généralement très mal le fractionnement de la nourriture. Pour éviter cela, on peut proposer quelques idées : on peut notamment utiliser des jeux, ou cacher des croquettes dans l’habitation pour encourager un comportement exploratoire et chasseur [12]. Ces notions sont reprises plus en détail dans l’article “Le comportement alimentaire du chat” (lien). 

Pour que l’animal perde du poids, l’alimentation est un facteur clé, mais on peut aussi mettre en place un programme d’activité physique comme chez les humains.

  • Pour les chiens, on peut proposer une augmentation progressive des balades quotidiennes, avec un programme adapté à l’âge et à la race [5]
  • Pour les chats, l’introduction d’une activité physique peut être plus compliquée. Pour favoriser l’exercice physique, on peut aménager son cadre de vie, en ajoutant des arbres à chats, des parcours et des lieux de couchage en hauteur, qui favorisent les sauts et l’escalade [12]. Il est également important pour les chats d’intérieur de proposer des séances de jeux, à raison de 5 à 10 minutes 3 fois par jour pour favoriser une activité physique régulière [5]

Pour réaliser le suivi de poids de son animal, vous pouvez trouver ici un graphique à remplir pour réaliser une courbe de poids. Si vous le préférez, vous avez aussi à disposition un tableau à remplir pour suivre le poids de votre animal. La pesée de l’animal doit se faire toutes les semaines dans les mêmes conditions, le même jour, à la même heure, avec la même balance. 

Une fois le calendrier établi, il est important de garder en tête que l’animal devra être suivi par un vétérinaire régulièrement, pour vérifier que la perte de poids est adaptée, et que l’animal ne perd pas de masse musculaire. Ce suivi est primordial, en effet une vitesse de perte de poids trop rapide peut être dangereuse pour l’animal avec notamment des carences énergétiques. Il est également possible qu’au bout de quelques semaines, l’animal maigrisse moins vite, il faut alors réajuster la ration alimentaire [5]

Conclusion

La lutte contre le surpoids et l’obésité est difficile, car de nombreux facteurs sont à prendre en compte. La prévention passe surtout par un environnement de vie correct et une alimentation adaptée à l’animal. 

Un désordre pondéral peut se corriger par un programme de perte de poids qui allie une alimentation modifiée, une adaptation de l’environnement et une activité physique régulière. La perte de poids peut être longue et difficile à suivre, ces aspects peuvent parfois être démotivants. Mais il faut garder en tête l’objectif : maintenir son animal à son poids idéal permet d’améliorer grandement sa qualité de vie et lui éviter des affections liées au surpoids comme l’arthrose ou le diabète qui sont des maladies chroniques handicapantes. 

Le vétérinaire est ici l’interlocuteur à privilégier, du diagnostic du surpoids jusqu’à la mise en place d’un programme de perte de poids adapté à l’animal.

Retrouvez ici des fiches résumées sur l’obésité et ses dangers, pour le chat ou pour le chien:

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Bibliographie

[1] Colliard, L. et al., 2006. Risk Factors for obesity in dogs in France. American Society for Nutritional Sciences, 136, p.1951‑1954.

[2] BANULS Damien, 2021. Prévalence et facteurs de risque d’obésité et de surpoids dans une population de chats sains présentés en consultation de médecine préventive à l’Ecole Nationale Vétérinaire de Toulouse et à l’Ecole Nationale Vétérinaire de Maisons-Alfort

[3] Sebastien Lefebvre. Nutrition vétérinaire du chien et du chat : Surpoids, obésité et arthrose. École thématique. France. 2020. ffhal-02454404ff

[4] Toll, P.W. et al., 2002. Obesity. In M. Hand et al., éd. Small Animal Clinical Nutrition. Mark Morris Institute, p. 501‑542.

[5] CAËL Anne-Cécile, 2018. Réalisation d’un guide de prise en charge du surpoids et de l’obésité chez le chien et le chat à destination du vétérinaire et du propriétaire.

[6] A. J. German et al., ‘Quality of life is reduced in obese dogs but improves after successful weight loss’, The Veterinary Journal, vol. 192, no. 3, pp. 428–434, Jun. 2012, doi: 10.1016/j.tvjl.2011.09.015.

[7] W. G. Marshall, H. A. W. Hazewinkel, D. Mullen, G. De Meyer, K. Baert, and S. Carmichael, ‘The effect of weight loss on lameness in obese dogs with osteoarthritis’, Vet Res Commun, vol. 34, no. 3, pp. 241–253, Mar. 2010, doi: 10.1007/s11259-010-9348-7.

[8] J. M. Scarlett and S. Donoghue, ‘Associations between body condition and disease in cats’, J Am Vet Med Assoc, vol. 212, no. 11, pp. 1725–1731, Jun. 1998.

[9] L. J. Martin, B. Siliart, H. J. Dumon, and P. Nguyen, ‘Spontaneous hormonal variations in male cats following gonadectomy’, Journal of Feline Medicine and Surgery, vol. 8, no. 5, pp. 309–314, Oct. 2006, doi: 10.1016/j.jfms.2006.03.002.

[10] P. D. McGreevy, P. C. Thomson, C. Pride, A. Fawcett, T. Grassi, and B. Jones, ‘Prevalence of obesity in dogs examined by Australian veterinary practices and the risk factors involved’, Veterinary Record, vol. 156, no. 22, pp. 695–702, May 2005, doi: 10.1136/vr.156.22.695.

[11] M. Wall, N. J. Cave, and E. Vallee, ‘Owner and Cat-Related Risk Factors for Feline Overweight or Obesity’, Front. Vet. Sci., vol. 6, p. 266, Aug. 2019, doi: 10.3389/fvets.2019.00266.

[12] S. L. Ellis, ‘Environmental Enrichment: Practical Strategies for Improving Feline Welfare’, Journal of Feline Medicine and Surgery, vol. 11, no. 11, pp. 901–912, Nov. 2009, doi: 10.1016/j.jfms.2009.09.011.

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